Le Saint Nom de Marie

La fête du saint Nom de Marie fut établie par le Pape Innocent XI, l’an 1683, en souvenir d’une mémorable victoire remportée par les chrétiens sur les Turcs, avec la protection visible de la Reine du Ciel. Cent cinquante mille Turcs s’étaient avancés jusque sous les murs de Vienne et menaçaient l’Europe entière. Sobieski, roi de Pologne, vint au secours de la ville assiégée dans le temps de l’octave de la Nativité de la Sainte Vierge, et se disposa à livrer une bataille générale. Ce religieux prince commença par faire célébrer la Messe, qu’il voulut servir lui-même, ayant les bras en croix. Après y avoir communié avec ferveur, il se leva à la fin du Sacrifice et s’écria : "Marchons avec confiance sous la protection du Ciel et avec l’assistance de la Très Sainte Vierge." Son espoir ne fut pas trompé : les Turcs, frappés d’une terreur panique, prirent la fuite en désordre. C’est depuis cette époque mémorable que la fête du saint Nom de Marie se célèbre dans l’octave de Sa Nativité.
Il était bien juste que le nom de Marie trouvât sa place, dans nos fêtes catholiques, à côté du nom de Jésus, le nom de Marie est un nom glorieux, un nom tout aimable, un nom salutaire. Les Saints se sont essayés à l’envi à retracer les merveilles du nom de Marie. La première gloire de ce nom béni, c’est qu’il fut inspiré par Dieu aux parents de la Vierge naissante et que l’archange Gabriel le prononça d’une voix pleine de respect ; et depuis, toutes les générations chrétiennes le redisent à chaque instant du jour ; le Ciel prononce à la terre ce nom si beau, et la terre en revoie au Ciel l’écho mélodieux : "Au nom de Marie, dit Pierre de Blois, l’Église fléchit le genou, les voeux et les prières des peuples retentissent de toutes parts."
"Que Votre nom est glorieux, ô sainte Mère de Dieu ! s’écrie saint Bonaventure ; qu’il est glorieux, ce nom qui a été la source de tant de merveilles !" – "O nom plein de suavité ! s’écrie le bienheureux Henri Suzo. O Marie ! Qui êtes-Vous donc Vous-même, si Votre nom seul est déjà si aimable et si rempli de charmes ?" – "Votre nom, ô Marie, dit saint Ambroise, est un baume délicieux qui répand l’odeur de la grâce !" – Mais surtout le nom de Marie est un nom de salut. Saint Éphrem l’appelle la Clef du Ciel. "Le nom seul de Marie, dit saint Bernard, met en fuite tous les démons..." Ce n’est là qu’un faible écho de l’apologie du nom de Marie faite par les Saints.
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l’année, Tours, Mame, 1950
SOURCE : http://magnificat.ca/cal/fr/saints/le_saint_nom_de_marie.html
Fête instituée par le Bhx Innocent XI en action de grâce pour la victoire des armées chrétiennes sur les Turcs à Vienne en 1683. Elle fut fixée au dimanche qui suivait la Nativité de la Ste Vierge. La réforme de Pie X, "libérant" les dimanches des fêtes de saints, l’a fixé au 12 septembre.
Leçons des Matines (avant 1960)
AU DEUXIÈME NOCTURNE.
Sermon de saint Bernard, Abbé.
Quatrième leçon. « Et le nom de la Vierge était Marie, » dit l’Évangile. Parlons aussi un peu de ce nom que l’on dit signifier étoile de la mer et qui convient parfaitement à la Vierge Mère. Celle-ci est fort à propos comparée à l’étoile ; car, de même que l’astre émet son rayon sans en éprouver aucune altération, ainsi la Vierge a enfanté un fils sans dommage pour sa virginité. Le rayon n’amoindrit pas l’éclat de l’astre et le fils de la Vierge n’ôte rien à l’intégrité de sa mère. Marie est donc l’illustre étoile qui s’est levée de Jacob et dont le rayonnement illumine tout l’univers ; sa splendeur brille dans les cieux et pénètre les abîmes, luit partout sur la terre fait sentir sa chaleur aux âmes plutôt qu’aux corps, favorise l’épanouissement des vertus et réduit les vices. Elle est, dis-je, la très brillante et remarquable étoile qu’il était nécessaire d’élever au-dessus cette mer profonde et vaste, étoile étincelante par ses mérites, lumineuse en ses exemples.
Cinquième leçon. Ô vous, qui que vous soyez, qui vous sentez ici-bas ballotté au milieu des orages et des tempêtes, et non placé sur une terre ferme, ne détournez point vos yeux de cet astre plein d’éclat, si vous ne voulez pas être englouti par les flots. Si le vent des tentations se lève, si vous touchez les écueils des tribulations, regardez l’étoile, invoquez Marie. Si vous êtes secoué par les vagues de l’orgueil, de l’ambition, de la médisance, de la jalousie, regardez l’étoile, invoquez Marie. Si la colère, ou l’avarice, ou les séductions de la chair agitent le frêle esquif de votre âme, jetez un regard vers Marie. Si, troublé par l’énormité de vos crimes, confus de la laideur de votre conscience, effrayé des sévérités du jugement, vous vous sentez entraîné dans le gouffre de la tristesse, dans l’abîme du désespoir, pensez à Marie.
Sixième leçon. Dans les périls, dans les angoisses, dans les perplexités, songez à Marie, invoquez Marie. Qu’elle soit constamment sur vos lèvres, qu’elle soit constamment dans votre cœur, et pour obtenir l’appui de ses prières, ne perdez jamais de vue les exemples de sa vie. En suivant Marie, on ne s’égare point ; en la priant, on ne tombe pas dans le désespoir ; en pensant à elle, on n’erre point. Si elle vous soutient, vous ne tomberez pas ; si elle vous protège, vous n’aurez rien à craindre ; si elle vous accompagne, vous ne connaîtrez pas la fatigue ; sa protection vous conduira au terme et vous expérimenterez ainsi en vous-même avec quelle vérité il a été dit : « Et le nom de la Vierge était Marie ». Ce nom vénérable était déjà honoré depuis longtemps par un culte spécial dans quelques parties du monde chrétien ; lorsqu’une insigne victoire fut remportée à Vienne en Autriche, par le secours de la sainte Vierge Marie, sur le cruel sultan des Turcs, qui menaçait avec insulte de soumettre les peuples chrétiens à sa tyrannie. Le Pape Innocent XI, voulant donc perpétuer la mémoire d’un tel bienfait, ordonna que cette Fête serait célébrée chaque année dans l’Église universelle.
AU TROISIÈME NOCTURNE.
Lecture du saint Évangile selon saint Luc.
En ce temps-là : L’Ange Gabriel fut envoyé de Dieu dans la ville de Galilée, appelée Nazareth, à une vierge qu’avait épousée un homme nommé Joseph, de la maison de David ; et le nom de la vierge était Marie. Et le reste.
Homélie de saint Pierre Chrysoloque.
Septième leçon. Aujourd’hui, frères bien-aimés, vous avez entendu un Ange traiter avec une femme de la réhabilitation de l’homme. Vous avez entendu qu’il s’agissait de ramener l’homme à la vie, par le même chemin qui l’avait conduit à la mort. C’est un Ange qui traite avec Marie du salut du genre humain, parce qu’un ange avait traité de sa perte avec Eve. Vous avez entendu cet Ange révéler le moyen ineffable de construire, du limon de notre chair, un temple à la divine Majesté. Vous avez entendu comment un mystère incompréhensible place Dieu sur la terre et l’homme dans le ciel. Vous avez entendu par quelle combinaison merveilleuse Dieu s’unit à l’homme dans un seul corps. Vous avez entendu comment la frêle nature de notre corps est affermie par l’exhortation d’un Ange, l’animant à porter toute la gloire de la divinité.
Huitième leçon. Enfin, de peur qu’en Marie le limon friable de notre corps ne s’affaissât sous le poids énorme du céleste édifice ; de peur que cette branche délicate qui devait porter le fruit de tout le genre humain ne se rompit, l’Ange a bientôt pris les devants et dit à la Vierge : « Ne craignez pas, Marie. » Avant d’énoncer le motif de sa mission, il lui fait entendre par ce nom, quelle est sa dignité. Car le mot hébreu de Marie, en latin Domina, signifie souveraine. L’Ange l’appelle souveraine, pour lui ôter la crainte qui appartient à la servitude, destinée qu’elle est à devenir la Mère du Dominateur, celui qu’elle doit enfanter ayant obtenu, par son autorité même, qu’elle naquît et fût appelée souveraine. « Ne craignez pas, Marie, car vous avez trouvé grâce. » C’est vrai : celui qui a trouvé grâce ne saurait craindre. Or, vous avez trouvé grâce.
Neuvième leçon. Bienheureuse celle qui, seule parmi les êtres humains et de préférence à tous, mérita d’entendre ces paroles : « Vous avez trouvé grâce. » Quel degré de grâce ? Une grâce aussi entière que le donne à entendre ce terme employé auparavant par l’Ange : « pleine. » Et vraiment elle était en sa plénitude, la grâce dont les flots abondants s’étaient versés sur cette créature, l’avaient pénétrée et remplie. « Vous avez trouvé grâce devant Dieu. » Disant ces choses, l’Ange lui-même s’étonne, ou de ce qu’une femme l’ait méritée seule, ou de ce que tous les hommes aient mérité la vie par une femme ; oui, l’Ange est comme frappé de stupeur, en voyant venir se renfermer tout entier dans les étroites bornes d’un sein virginal, le Dieu pour qui toutes les choses créées réunies ne sont que petitesse. C’est pourquoi l’Ange tarde à préciser le but de sa mission ; de là vient qu’il nomme la Vierge par ce qui exprime son mérite, et la salue en mentionnant la grâce. A celle qui l’écoute, il ne livre que peu à peu son message, sans doute afin d’en faire ressortir la signification ; c’est aussi peu à peu qu’il achève de calmer sa crainte prolongée.
SOURCE : http://www.introibo.fr/12-09-Le-Tres-Saint-Nom-de-Marie
12 septembre
Saint Nom de Marie
Prière
Oui, ô Marie ! votre nom sublime et admirable est sorti du trésor de la Divinité ; car c’est la sainte Trinité tout entière qui vous a donné ce nom au-dessus de tous les noms après celui de votre divin Fils, et qui l’a enrichi de tant de majesté et de puissance, qu’il faut que, par respect pour ce saint nom, dès qu’il est prononcé, tout genou fléchisse dans le ciel, sur la terre et aux enfers .
Richard de Saint-Laurent
Historique
La fête du Saint Nom de Marie, disparue aujourd’hui du calendrier liturgique, venait de la ville de Cuenca, en Espagne (Nouvelle-Castille), à qui elle fut concédée en 1513, sous le rite double. Un temps abrogée par saint Pie V (1570), la fête du Saint Nom de Marie fut rétablie par Sixte V (1585-1590) et assignée au 17 septembre. Réservée à Cuenca, au diocèse de Tolède, puis à toute l’Espagne, la fête du Saint Nom de Marie fut ensuite permise par Clément X au royaume de Naples (1671) ; le diocèse de Milan la célébra le 11 septembre et d’autres le 22 septembre. La fête du Saint Nom de Marie ne fut instituée à Rome qu’en 1683, par Innocent XI, en action de grâce pour la délivrance de Vienne assiégée par les Turcs (12 septembre 1683).
Tandis que la Hongrie se révoltait contre les Habsbourgs, les trois cent mille hommes des armées turques conduites par le grand vizir de Mehmed IV, Kara Mustapha Pacha, et guidées par le comte hongrois et protestant Tököly, bloquaient Vienne depuis le 14 juillet 1683. L’empereur Léopold I° (1640-1705) et son beau-frère, Charles de Lorraine, avaient déserté la ville où treize mille hommes attendaient sous le commandement du comte de Sarhenberg. Innocent XI qui eût voulu former une ligue catholique contre les Turcs, ne put compter que sur l’alliance de Jean III Sobieski (1624-1696), roi de Pologne depuis 1674, que l’on joignit lors d’un pèlerinage à Chestokowa dont il partit le 15 août. Le dimanche 12 septembre 1683, Jean Sobieski servit la messe, communia, arma son fils chevalier et prit le commandement de l’armée catholique où, en plus de ses troupes polonaises, il y avait celles du duc de Lorraine et du prince de Waldeck ; « Aujourd’hui, s’écria-t-il, il y va tout ensemble de la délivrance de Vienne, de la conservation de la Pologne et du salut de la chrétienté entière ! » Puis, il se mit à la tête des coalisés et chargea en criant : « Non nobis, Domine, non nobis, sed nomini tuo da gloriam ! » Les Ottomans furent battus à Kahlenberg et, dans Vienne délivrée, Jean Sobieski vint se prosterner avec ses généraux devant la statue de Notre-Dame de Lorette vénérée dans l’église des Augustins où l’on chanta un Te Deum ; ce jour-là, on avait fait à Rome une grande procession suivie, malgré sa goutte, par la pape ; le 24 septembre, le cardinal-vicaire prescrit des sonneries de cloches et des prières d’action de grâces et, le 25 novembre, un décret établissait la fête du Saint Nom de Marie et l’assignait au dimanche dans l’octave de la Nativité de la Bienheureuse Vierge.
Innocent XIII étendit la fête du Saint Nom de Marie à l’Eglise universelle en 1721. La fête du Saint Nom de Marie fut placée au 12 septembre par Pie X lors de la grande réforme du Bréviaire romain[1]. La fête du Saint Nom de Marie a disparu lors de la réforme du calendrier par Paul VI (1969), mais lui a laissé une messe votive ce qu’a ratifié Jean-Paul II dans Les messes en l’honneur de la Vierge Marie, publié à Rome le 15 août 1986, où la vingt-et-unième messe est en l’honneur du saint Nom de Marie.
[1] Pie X : constitution apostolique « Divino afflatu », 1° novembre 1911.
SOURCE : http://missel.free.fr/Sanctoral/09/12.php
La fête du Saint Nom de Marie, rétablie par le bienheureux Jean-Paul II
Un refuge dans les épreuves
12 SEPTEMBRE 2011RedactionÉglise catholique
ROME, Lundi 12 septembre 2011 (ZENIT.org) – L’Eglise fête le 12 septembre le saint Nom de Marie, une fête inscrite dans l’octave de celle de la Nativité de la Vierge : elle a été rétablie en 2002 par le bienheureux Jean-Paul II, pour des raisons spirituelles et historiques. Les saints ont invoqué le Nom de Marie, comme saint Bernard, comme un refuge dans les épreuves.
A peu près un siècle après la défaite de Lépante (1571), les Turcs tentèrent de passer en Europe occidentale par voie de terre en 1683. Mahomet IV avait remis l’étendard de Mahomet à Kara Mustapha au début de 1683, en lui faisant jurer de le défendre au prix de sa vie si nécessaire.
Le grand Vizir était fort de 150.00 ou 300.000 hommes, selon les estimations, et il se promettait de prendre Belgrade, Buda, Vienne, de déboucher en Italie et d’arriver à Rome, « à l’autel de saint Pierre ».
En août 1683, un capucin italien et grand mystique, le bienheureux Marco d’Aviano, béatifié par Jean-Paul II, était nommé grand aumônier de toutes les armées chrétiennes.
La petite histoire voit en lui l’inventeur du « capucino », mais la grande histoire retient qu’il redonna courage à Vienne et réussit à convaincre le roi de Pologne de venir secourir la ville avec ses 40.000 hommes.
La ville était assiégée depuis le 14 juillet et sa reddition était une question d’heures. Le rapport de force n’était pas en faveur des troupes chrétiennes, mais Vienne se confiait à l’intercession de la Vierge et l’image de la Vierge était sur tous les étendards.
Sur le Kahlenberg qui domine la ville au nord, le P. Marco célébra la messe, servie par le roi Jan Sobieski devant l’armée disposée en demi-cercle. Le capucin prédit une victoire inouïe. Et au lieu de terminer en disant les paroles liturgiques : « Ite missa est », il cria : « Ioannes vinces ! » « Jan vaincra » !
Les troupes conduites par le roi de Pologne Jean III Sobieski et le duc Charles de Lorraine attaquèrent les Ottomans à l’aube du 11 septembre. Un soleil splendide éclairait les deux armées dont dépendait le sort de l’Europe. Les cloches de la ville sonnaient depuis le matin. Les femmes et les enfants priaient dans les églises, implorant l’aide de la Vierge Marie. Et le soir, l’étendard du grand vizir était tombé aux mains de Sobieski.
Le lendemain, il fit son entrée dans la ville en liesse, et vint assister à la messe et au Te Deum en l’église de la Vierge de Lorette à laquelle il attribuait la victoire.
Le pape Innocent XI aussi attribuait cette victoire à l’intercession de la Vierge. C’est en ex-voto qu’il institua alors la fête en l’honneur du Saint Nom de Marie.
La fête fut étendue à toute l’Eglise le 25 novembre 1683, et la Nativité de Marie fut fixée au dimanche suivant. C’est le pape saint Pie X qui a fixé la date au 12 septembre, jour anniversaire de célébration de la victoire.
La fête du Saint Nom de Marie avait disparu du calendrier romain en 1970 mais a été rétablie à cette date par le pape polonais, Jean-Paul II, dans l’Editio tertia du Missel Romain.
De nombreux saints ont honoré le Nom de Marie. Le grand saint Ambroise de Milan (+397) écrivait : « Votre nom, ô Marie, est un baume délicieux qui répand l’odeur de la grâce ! »
Saint Bernard de Clairvaux (+1153 ) y voit un refuge dans le combat spirituel : « Le seul nom de Marie met en fuite tous les démons ».
Saint Bonaventure (+1274) prie ainsi la Vierge Marie : « Que Votre nom est glorieux, ô sainte Mère de Dieu ! Qu’il est glorieux, ce nom qui a été la source de tant de merveilles ! »
Et le bienheureux Henri Suzo (+1365) s’exclame : « O nom plein de suavité ! O Marie ! Qui êtes-Vous donc vous-même, si votre nom seul est déjà si aimable et si rempli de charmes ? »
Benoît XVI a recommandé l’invocation du Nom de Marie pour la conversion des baptisés lors de l’angélus du 12 septembre 2010 : « A la Vierge Marie, dont le Très Saint Nom est célébré aujourd’hui dans l’Eglise, nous confions notre chemin de conversion à Dieu ».
Le 12 septembre 2007, lors de l’audience du mercredi, le pape a souligné le lien de cette fête avec celle de la Nativité de Marie (le 8 septembre) en s’adressant spécialement aux jeunes : « Samedi dernier, nous avons célébré la fête de la Nativité de la Vierge, et aujourd’hui nous commémorons son saint Nom. Que la Céleste Mère de Dieu, qui nous accompagne tout au long de l’année liturgique, vous guide, chers jeunes, sur le chemin d’une adhésion à l’Evangile toujours plus parfaite ; qu’elle vous encourage, chers malades, à accueillir avec sérénité la volonté de Dieu ; qu’elle vous soutienne, chers jeunes mariés, dans la construction quotidienne de la cohabitation familiale, qui s’inspire du style de la maison de Nazareth ».
Anita S. Bourdin